Depuis 2012, Patek Philippe, le plus admiré des horlogers suisses pour l’excellence de ses créations précieuses, organise de grandes expositions à travers le monde. Tokyo a accueilli la dernière en date en juin dernier. Editions spéciales, inspiration artisanale japonaise et entretien avec le boss Thierry Stern : pour Miles, cet événement 3 étoiles méritait assurément le voyage.
Serge Vanmaercke
Dans le cadre de son exposition Watch Art Grand Exhibition à Shinjuku, Tokyo, Thierry Stern a annoncé que Patek Philippe enrichira bientôt son catalogue d’une nouvelle collection. Cette collection, qui se tiendra aux côtés des emblématiques Calatrava, Aquanaute et Nautilus, promet de se distinguer par son esthétique raffinée et sa mécanique innovante.
Un lien ancestral
La fascination du Japon pour les créations de Patek Philippe remonte aux premières heures de la manufacture, soulignée par la visite historique de la délégation Iwakura en 1873. Depuis lors, le Japon est devenu un marché de collectionneurs avertis, appréciant l’artisanat d’excellence et la précision technique des garde-temps de la marque.
Du grand art(isanat)
La maîtrise des métiers d’art traditionnels de Patek Philippe, tels que la peinture miniature sur émail et la gravure main, a été célébrée lors de l’exposition avec 40 créations inspirées de la culture japonaise, démontrant l’engagement de la Maison envers l’artisanat d’exception.
Premières et séries limitées
À l’occasion de cette exposition majeure, Patek Philippe a dévoilé des séries limitées et des premières mondiales, dont une nouvelle Quadruple Complication et la première Heure Universelle avec date indexée sur l’heure locale, affirmant ainsi son statut de pionnier dans le domaine de l’horlogerie de luxe.
